Le Conseil d’Etat a rejeté mardi 6 décembre le recours déposé par la mosquée salafiste d’Ecquevilly, dans les Yvelines. L’association islamique Malik Ibn Anas (AIMA), gérante de la salle de prière d’Ecquevilly, demandait l’annulation de sa fermeture administrative décidée par le ministère de l’intérieur le 2 novembre dans le cadre de l’Etat d’urgence. Nous avions enquêté sur cette mosquée prônant « l’animosité et la haine envers les non musulmans » lire notre article.
Maintenant, la question est de savoir si les fidèles vont migrer vers d’autres mosquées environnantes, qu’ils risquent de polluer. Et si, révoltés, ils ne vont pas passer à l’action violente…