La mosquée Zaid de Bethoncourt, sise dans le quartier sensible des Champvallons, est pourtant dirigée par un notable de l’islam « de France », Mohamed Gmih, marocain, membre du conseil d’administration du Conseil français du culte musulman et président de sa structure régionale, le CRCM de Franche-Comté. La mosquée enseignant l’arabe et le coran à une soixantaine d’enfants (mercredi et samedi), est fréquentée par plus de cent personnes le vendredi.
Depuis un an, janvier 2017 précisément, l’appel à la prière du matin et du début d’après midi se réalise par mégaphone afin de toucher tout le quartier a constaté la police. Comment cela peut-il être toléré ? Et après des quartiers entiers, des villes seront ainsi sonorisées à l’avenir ?
Cette mosquée, de la mouvance tablighi, a été fréquentée par la famille Akoucham, dont Mohamed et Soukaina ont rejoint en Syrie les rangs de l’Etat Islamique, en 2014 et 2015. Illustration du problème des naturalisations en France, le vice-président de la mosquée ainsi que le trésorier, nés au Maroc, ont obtenu la nationalité française.
Rappelons que les tablighis contrôlent 147 mosquées en France selon un pointage de l’Intérieur à l’été 2016.
Observatoire de l’islamisation, janvier 2018.