- Né au Maroc en 1992
- Naturalisé français en 2004.
- Condamné par le tribunal correctionnel de Carcassonne le 29 mai 2011 à une peine de 1 mois d’emprisonnement avec sursis pour une infraction de port d’arme prohibée.
- Fiché S à l’été 2014.
Inscrit au Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT)
Le Figaro du 24 mars :
Il avait été signalé une première fois en janvier 2016 après un déplacement dans un ou plusieurs pays suspectibles d’être un terrain de formation au djihad. Il a ensuite été signalé en 2017 pour ses relations avec la mouvance islamiste radicale.
Selon le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, qui s’est exprimé au milieu de l’après-midi, « nous l’avions suivi et pensions qu’il n’y avait pas de radicalisation. Il est passé à l’acte brusquement (…) ».
Totalement incohérent par rapport aux informations du Figaro !
Lu dans Le Parisien (extrait) :
« Redouane Lakdim, un homme d’origine marocaine déjà condamné et très actif sur les sites salafistes. Il est suspecté d’avoir d’abord attaqué les occupants d’une voiture à Carcassonne (Aude), tuant le passager et blessant le conducteur, puis blessé un CRS par balles avant de se retrancher dans un Super U de Trèbes, où il a été abattu par les forces de l’ordre après avoir lui même tué au moins deux personnes.
Cet homme, âgé de 26 ans, était suivi par la direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), explique au Parisien une source proche de l’enquête. Très actif sur les réseaux sociaux salafistes, il avait été incarcéré à Carcassonne en 2016, sans que l’on sache pour quelles raisons. Cependant, Gérard Collomb a précisé qu’il était « connu pour de possession de stupéfiants et deal ». Le ministre de l’Intérieur a ajouté qu’« on ne pouvait pas dire qu’il était connu comme un radical pouvant passer à l’acte ». Article intégral
Lu dans Le Figaro :
Redouane Lakdim, 26 ans, était connu pour des faits de petite délinquance », a expliqué le ministre. L’homme était « suivi », mais « nous pensions qu’il n’y avait pas de radicalisation » a précisé le ministre. Il est « passé à l’acte brusquement » et a « agi seul », selon Gérard Collomb.
Un peu plus tôt, une source proche de l’enquête avait indiqué que le suspect était un Marocain suivi pour radicalisation islamiste. Lire la suite dans Le Figaro