Comme l’a affirmé Emmanuel Macron à Jean-Pierre Pernaut le 12 avril dernier, le gouvernement n’interdira pas le salafisme -pourtant matrice idéologique des djihadistes- doté de 120 mosquées en France, ni le mouvement tabligh (147 mosquées) et encore moins les Frères Musulmans de l’UOIF qui contrôlent 170 mosquées soutenues localement par des élus LREM. Les islamistes turcs ne sont pas en reste, avec les députés LREM qui soutiennent leurs projets de mosquées.
Rappelons que Macron veut « organiser le financement étranger des mosquées » conjointement avec l’Arabie Saoudite salafiste.